Faire avec l’exil naît de la rencontre avec une trentaine d’anciens exilés politiques uruguayens s’étant réfugiés en France, en Belgique ou en Suisse pendant la dictature et étant rentrés à Montevideo. Mêlant l’écriture et la photographie, il cherche à isoler les expériences qui, pour chaque exilé, ont été déterminantes (découverte d’une vocation, deuils, rencontres, apprentissages) et qui hantent leur vie présente.